Ne vous est-il jamais arrivé de vous demander en regardant une attraction : "Mais pourquoi ont-ils choisi cette thématisation là ?". Soit, les parcs à thèmes répondent à des règles strictes selon lesquelles la thématisation d'une attraction doit être en adéquation avec le land où elle se trouve. Mais cela ne répond qu'en partie à la question. Et puis la thématisation est-elle décidé avant le choix de l'attraction ou l'inverse ? Rassurez-vous, nous n'allons pas philosopher sur la poule et l'oeuf. Pourtant, c'est bien l'histoire d'un oeuf devenu poule que nous allons vous raconter. Nous allons entrer dans des mécanismes jamais révélés. Vous allez découvrir ce que jamais vous n'auriez dû savoir. Et nous allons vous expliquer ce qui d'habitude n'est jamais révélé. Et nous allons...
Simon Bourlet :
Jean-Marc Toussaint : Bonjour à vous, ravi de vous permettre de conclure cette série d'articles...
S.B. :
J.M.T : C'est à la fois éloigné et proche (on sent que je suis d'origine normande, là ...) puisque, entre le scénario et l'attraction terminée, il y a quand même pas mal de similitudes. La thématique, déjà , puis l'idée de la tribu de dingos, ancêtres d'Astérix et d'Obélix. Ensuite, la plupart des choses que j'avais conçues pour la file d'attente sont encore là : les pièges idiots, le gars dans le plâtre, le chasseur chassé, les peintures des enfants... Bien sûr, l'histoire a radicalement changé. Dans la mesure où mon contrat avec le parc se limitait à la conception du sujet, avec une porte éventuelle ouverte sur la création graphique, il a bien fallu que je rende ma copie. A partir de là , le sujet ne t'appartient plus, on se retrouve dans le même cas de figure que sur un film. Lorsqu'un scénariste remet son script à un producteur, il n'est pas exclu que ce dernier le fasse modifier par quelqu'un d'autre avant la réalisation. L'analogie entre le monde du cinéma et celui des parcs est toujours frappante. Je suppose qu'Astérix a voulu apporter au scénario une petite touche d'originalité alors que j'avais juste cherché à concevoir une histoire perceptible par tout le monde (enfin, par tous ceux qui se seraient un peu penché sur la question parce que rares sont les gens, en dehors des fans et de ceux qui consultent ce site, qui essayent de décrypter à fond le thème d'une attraction.)
S.B. :
J.M.T : Un peu, au début, évidemment. Ce serait mentir de dire que j'étais ravi. Mais, lorsque j'ai découvert l'attraction terminée, au printemps dernier, je me suis rendu compte que la plupart de mes idées étaient encore là . Ce qui signifie que le parc les avait jugées assez bonnes pour les conserver. Et puis, il faut dire que c'était le premier gros travail conceptuel que me confiait Astérix. J'avais déjà fait des bricoles pour eux, à droite et à gauche, mais là , c'était un gros morceau, l'attraction la plus chère de toute l'histoire du site. Rétrospectivement, je suis déjà content d'être allé si loin dans le projet. J'ai ravalé mes rancours et j'ai pris une petite leçon d'humilité. Cela dit, je crois que je peux, sans honte, m'octroyer aujourd'hui une bonne partie de la paternité du concept de La Trace.
S.B. :
J.M.T : Lorsque j'ai rendu le scénario, à l'automne 99, je l'ai agrémenté d'un dossier d'intentions, une sorte de « bible » traçant les grandes lignes visuelles à suivre par ceux qui allaient réaliser les décors. Des textes descriptifs, des dessins, des gravures, des photos, des échantillons de matières... Même si je n'ai pas personnellement réalisé les dessins servant de base aux décors (sauf un, d'ailleurs, qui a défini le côté "bâton" des personnages - voir illustration jointe) tous les détails utiles à leurs exécution se trouvaient déjà dans mes notes.
S.B. :
J.M.T : Mes années scolaires sont bien loin derrière moi ! Trêve de plaisanterie, il n'y a pas de secret, il faut consacrer pas mal de temps à faire des recherches, collecter un maximum d'informations, prendre des notes, faire des croquis. Pour bien détourner un sujet, il est nécessaire d'en savoir le plus possible sur le sujet en question. Une fois arrêté sur le thème de la préhistoire, je suis allé des tas de fois au musée d'histoire naturelle à Paris, j'ai passé des journées entières en bibliothèque à éplucher tout ce qui me passait sous la main. J'ai aussi, chez moi, une quantité de vieux dictionnaires et de vieilles encyclopédies (dont une sur la préhistoire) dont la lecture me régale. Une fois toutes ces infos digérées, j'ai dressé sur le papier la liste des sujets "préhistoriques" les plus reconnaissables par le public sans tenir compte des anachronismes : le dinosaure, l'homme des cavernes, les peintures rupestres, la quête du feu, la chasse, les rites tribaux... Ensuite, j'ai assemblé les pièces du puzzle pour obtenir une sorte "d'image d'Epinal" de la préhistoire un peu farfelue, vraiment dans l'esprit d'Astérix. Le scénario en a presque naturellement découlé.
S.B. :
J.M.T : L'intérêt, au départ de ce genre de projet, c'est que, justement, il n'y a pas de limites à part les bords de la feuille sur laquelle vous écrivez ou vous dessinez. Avec Patrick Roger, au départ, on avait imaginé par exemple de séparer la gare d'embarquement et de débarquement ce qui aurait ainsi permis, du point de vue des visiteurs sur le point d'emprunter l'attraction, de voir le train surgir, vide, d'une grotte enfumée. Et puis on a reçu le schéma du circuit et on est revenu sur une gare plus traditionnelle. Le tracé de la piste et l'emprise de l'attraction au sol ont aidé à déterminer le tracé exact de la file d'attente et c'est ce qui m'a servi de fil conducteur pendant la rédaction du scénario. Après, il faut être réaliste, le budget dont nous disposions ne nous permettait pas de construire une montagne grandeur nature dans laquelle intégrer la piste du bob. Aujourd'hui, le compromis est intéressant, la couleur des supports se fond assez bien avec le sol, les rochers et la forêt environnante et "l'enrochement" conséquent de la partie avant de l'attraction (file d'attente, gare) détourne l'attention. Le visiteur ne fait pas attention à l'arrière de la Trace, qui n'est pas décorée. Tous les rochers ont été réalisés par les Ateliers Artistiques du Béton, qui bossent pour Astérix depuis son ouverture (ils ont aussi fait les rochers d'Euromir à EP et ceux de Discoveryland à DLP, entre autres). Le reste a été assuré par les équipes déco du parc.
S.B. :
J.M.T : Mon premier testeur officiel, que je consulte en priorité, c'est Caroline, mon épouse. Elle est journaliste de cinéma et met son oeil de critique à ma disposition. Elle a beau être fan de parcs et de coasters, elle n'hésite pas à me faire part de ses commentaires toujours très constructifs. (J'en profite au passage pour lui faire un peu de pub : elle vient d'écrire un bouquin sur le réalisateur John Woo. Pour ceux que ça intéresse, c'est sorti aux éditions Dark Star et on le trouve dans les librairies dignes de ce nom.) Ensuite, j'ai un panel de "fidèles" (des amis scénaristes, des potes fans de manèges, les gosses et les ados de mon entourage, etc.) à qui j'expose les grandes lignes sans trop rentrer dans les détails (ce genre de projet est tout de même assujetti à un minimum de confidentialité !) Je note leurs réactions et j'essaye d'en tenir compte dans les corrections. Par exemple, lorsque je travaillais sur le concept du wood coaster "Hurricane", en Floride, un copain m'a suggéré d'utiliser "Riders on the Storm" des Doors comme bande-son ("Storm" était à l'époque le nom de travail de l'attraction.) Ce qui m'a ensuite sauté aux yeux, c'est qu'on pouvait appliquer ce
titre à la photo-souvenir ("Ceux qui ont conquis le Storm") mais on n'a pas pu le faire pour des raisons de droits très chers. Et puis à cause du changement de nom. On aurait pu prendre, cela dit "Rock You Like a Hurricane" de Scorpions... Mais je m'égare. Bref, à l'arrivée, il faut se livrer à l'exercice délicat de synthétiser les remarques pour les appliquer au concept sans trop dénaturer le sujet.
S.B. :
J.M.T : J'en doute, c'est difficile de revenir sur une attraction qui a une telle emprise. En théorie, oui, on pourrait rajouter des peintures rupestres dans la file d'attente et changer le look des trains pour revenir vers le concept du Pyrosaurus. Ce serait envisageable si l'attraction ne remportait aucun succès auprès des visiteurs, ce qui est loin d'être le cas dans la mesure où eux, finalement, ne voient que les sensations qu'on peut éprouver sur un matériel de ce genre. Mais cela coûterait quand même pas mal d'argent. Je pense que les amateurs préféreraient voir de nouvelles attractions sur le parc plutôt qu'une refonte de celle-ci. Maintenant, faut-il adapter ce thème à un autre type de manège ? Je ne sais pas. Cela pourrait peut-être créer un conflit narratif avec La Trace. Cependant, il n'est pas exclu que je retravaille un jour avec Grévin Productions, la société qui s'occupe de la recherche et du développement pour le groupe auquel appartient le Parc Astérix.
S.B. :
J.M.T : Eh bien, je vais essayer !
Interview réalisée par Simon Bourlet
Simon Bourlet :
Bonjour Jean Marc !
Jean-Marc Toussaint : Bonjour à vous, ravi de vous permettre de conclure cette série d'articles...
S.B. :
Nous avons pu lire dans la série d'articles "Suivre la Trace" toutes les démarches créatives qui ont abouti finalement à la forme actuelle de "La Trace du Hourra". Mais nous voyons qu'à l'arrivée la thématisation est assez éloignée de ce que vous aviez imaginé au départ, la seule "trace" de votre concept reste celle du thème préhistorique ? Pourquoi ?
J.M.T : C'est à la fois éloigné et proche (on sent que je suis d'origine normande, là ...) puisque, entre le scénario et l'attraction terminée, il y a quand même pas mal de similitudes. La thématique, déjà , puis l'idée de la tribu de dingos, ancêtres d'Astérix et d'Obélix. Ensuite, la plupart des choses que j'avais conçues pour la file d'attente sont encore là : les pièges idiots, le gars dans le plâtre, le chasseur chassé, les peintures des enfants... Bien sûr, l'histoire a radicalement changé. Dans la mesure où mon contrat avec le parc se limitait à la conception du sujet, avec une porte éventuelle ouverte sur la création graphique, il a bien fallu que je rende ma copie. A partir de là , le sujet ne t'appartient plus, on se retrouve dans le même cas de figure que sur un film. Lorsqu'un scénariste remet son script à un producteur, il n'est pas exclu que ce dernier le fasse modifier par quelqu'un d'autre avant la réalisation. L'analogie entre le monde du cinéma et celui des parcs est toujours frappante. Je suppose qu'Astérix a voulu apporter au scénario une petite touche d'originalité alors que j'avais juste cherché à concevoir une histoire perceptible par tout le monde (enfin, par tous ceux qui se seraient un peu penché sur la question parce que rares sont les gens, en dehors des fans et de ceux qui consultent ce site, qui essayent de décrypter à fond le thème d'une attraction.)
S.B. :
Quel a été votre sentiment quand votre projet "Pyrosaurus" a été légèrement écarté ? Déçu ?
J.M.T : Un peu, au début, évidemment. Ce serait mentir de dire que j'étais ravi. Mais, lorsque j'ai découvert l'attraction terminée, au printemps dernier, je me suis rendu compte que la plupart de mes idées étaient encore là . Ce qui signifie que le parc les avait jugées assez bonnes pour les conserver. Et puis, il faut dire que c'était le premier gros travail conceptuel que me confiait Astérix. J'avais déjà fait des bricoles pour eux, à droite et à gauche, mais là , c'était un gros morceau, l'attraction la plus chère de toute l'histoire du site. Rétrospectivement, je suis déjà content d'être allé si loin dans le projet. J'ai ravalé mes rancours et j'ai pris une petite leçon d'humilité. Cela dit, je crois que je peux, sans honte, m'octroyer aujourd'hui une bonne partie de la paternité du concept de La Trace.
S.B. :
Jusqu'où êtes-vous intervenu dans la conception de la Trace ? Le graphisme des peintures rupestres actuelles par exemple, en êtes-vous à l'origine ?
J.M.T : Lorsque j'ai rendu le scénario, à l'automne 99, je l'ai agrémenté d'un dossier d'intentions, une sorte de « bible » traçant les grandes lignes visuelles à suivre par ceux qui allaient réaliser les décors. Des textes descriptifs, des dessins, des gravures, des photos, des échantillons de matières... Même si je n'ai pas personnellement réalisé les dessins servant de base aux décors (sauf un, d'ailleurs, qui a défini le côté "bâton" des personnages - voir illustration jointe) tous les détails utiles à leurs exécution se trouvaient déjà dans mes notes.
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S.B. :
Le "pyrosaurus" donnait matière à inventer et à imaginer ... mais justement, où avez-vous trouvé l'inspiration ? Dans vos cours d'écolier sur les dinosaures et les hommes préhistoriques ? ;-)
J.M.T : Mes années scolaires sont bien loin derrière moi ! Trêve de plaisanterie, il n'y a pas de secret, il faut consacrer pas mal de temps à faire des recherches, collecter un maximum d'informations, prendre des notes, faire des croquis. Pour bien détourner un sujet, il est nécessaire d'en savoir le plus possible sur le sujet en question. Une fois arrêté sur le thème de la préhistoire, je suis allé des tas de fois au musée d'histoire naturelle à Paris, j'ai passé des journées entières en bibliothèque à éplucher tout ce qui me passait sous la main. J'ai aussi, chez moi, une quantité de vieux dictionnaires et de vieilles encyclopédies (dont une sur la préhistoire) dont la lecture me régale. Une fois toutes ces infos digérées, j'ai dressé sur le papier la liste des sujets "préhistoriques" les plus reconnaissables par le public sans tenir compte des anachronismes : le dinosaure, l'homme des cavernes, les peintures rupestres, la quête du feu, la chasse, les rites tribaux... Ensuite, j'ai assemblé les pièces du puzzle pour obtenir une sorte "d'image d'Epinal" de la préhistoire un peu farfelue, vraiment dans l'esprit d'Astérix. Le scénario en a presque naturellement découlé.
S.B. :
Nous avons pu voir que votre imagination était très fertile ! Mais justement, quelles ont été, ici, les limites techniques ou artistiques à la réalisation de ce concept ? Quelle entreprise se cache derrière la réalisation du décor ?
J.M.T : L'intérêt, au départ de ce genre de projet, c'est que, justement, il n'y a pas de limites à part les bords de la feuille sur laquelle vous écrivez ou vous dessinez. Avec Patrick Roger, au départ, on avait imaginé par exemple de séparer la gare d'embarquement et de débarquement ce qui aurait ainsi permis, du point de vue des visiteurs sur le point d'emprunter l'attraction, de voir le train surgir, vide, d'une grotte enfumée. Et puis on a reçu le schéma du circuit et on est revenu sur une gare plus traditionnelle. Le tracé de la piste et l'emprise de l'attraction au sol ont aidé à déterminer le tracé exact de la file d'attente et c'est ce qui m'a servi de fil conducteur pendant la rédaction du scénario. Après, il faut être réaliste, le budget dont nous disposions ne nous permettait pas de construire une montagne grandeur nature dans laquelle intégrer la piste du bob. Aujourd'hui, le compromis est intéressant, la couleur des supports se fond assez bien avec le sol, les rochers et la forêt environnante et "l'enrochement" conséquent de la partie avant de l'attraction (file d'attente, gare) détourne l'attention. Le visiteur ne fait pas attention à l'arrière de la Trace, qui n'est pas décorée. Tous les rochers ont été réalisés par les Ateliers Artistiques du Béton, qui bossent pour Astérix depuis son ouverture (ils ont aussi fait les rochers d'Euromir à EP et ceux de Discoveryland à DLP, entre autres). Le reste a été assuré par les équipes déco du parc.
S.B. :
A part à l'équipe du Parc Astérix, à qui avez-vous soumis les idées de concepts ? Aux visiteurs, à votre entourage ?
J.M.T : Mon premier testeur officiel, que je consulte en priorité, c'est Caroline, mon épouse. Elle est journaliste de cinéma et met son oeil de critique à ma disposition. Elle a beau être fan de parcs et de coasters, elle n'hésite pas à me faire part de ses commentaires toujours très constructifs. (J'en profite au passage pour lui faire un peu de pub : elle vient d'écrire un bouquin sur le réalisateur John Woo. Pour ceux que ça intéresse, c'est sorti aux éditions Dark Star et on le trouve dans les librairies dignes de ce nom.) Ensuite, j'ai un panel de "fidèles" (des amis scénaristes, des potes fans de manèges, les gosses et les ados de mon entourage, etc.) à qui j'expose les grandes lignes sans trop rentrer dans les détails (ce genre de projet est tout de même assujetti à un minimum de confidentialité !) Je note leurs réactions et j'essaye d'en tenir compte dans les corrections. Par exemple, lorsque je travaillais sur le concept du wood coaster "Hurricane", en Floride, un copain m'a suggéré d'utiliser "Riders on the Storm" des Doors comme bande-son ("Storm" était à l'époque le nom de travail de l'attraction.) Ce qui m'a ensuite sauté aux yeux, c'est qu'on pouvait appliquer ce
titre à la photo-souvenir ("Ceux qui ont conquis le Storm") mais on n'a pas pu le faire pour des raisons de droits très chers. Et puis à cause du changement de nom. On aurait pu prendre, cela dit "Rock You Like a Hurricane" de Scorpions... Mais je m'égare. Bref, à l'arrivée, il faut se livrer à l'exercice délicat de synthétiser les remarques pour les appliquer au concept sans trop dénaturer le sujet.
S.B. :
Aura-t-on la chance de voir le pyrosaurus prendre pour tanière le Parc Astérix dans quelques années, dans un autre projet "préhistérique" ?
J.M.T : J'en doute, c'est difficile de revenir sur une attraction qui a une telle emprise. En théorie, oui, on pourrait rajouter des peintures rupestres dans la file d'attente et changer le look des trains pour revenir vers le concept du Pyrosaurus. Ce serait envisageable si l'attraction ne remportait aucun succès auprès des visiteurs, ce qui est loin d'être le cas dans la mesure où eux, finalement, ne voient que les sensations qu'on peut éprouver sur un matériel de ce genre. Mais cela coûterait quand même pas mal d'argent. Je pense que les amateurs préféreraient voir de nouvelles attractions sur le parc plutôt qu'une refonte de celle-ci. Maintenant, faut-il adapter ce thème à un autre type de manège ? Je ne sais pas. Cela pourrait peut-être créer un conflit narratif avec La Trace. Cependant, il n'est pas exclu que je retravaille un jour avec Grévin Productions, la société qui s'occupe de la recherche et du développement pour le groupe auquel appartient le Parc Astérix.
S.B. :
Je vous remercie Jean Marc d'avoir pris la peine d'avoir répondu à ces quelques questions, et au nom de toute l'équipe de la ParkOtheK, je vous souhaite une bonne continuation dans vos projets présents et futurs...continuez à nous faire rêver !
J.M.T : Eh bien, je vais essayer !
Interview réalisée par Simon Bourlet